Chapitre 1458

Marian s’est aussi excusé

– Bitoric, excuse-moi! Dorénavant, quel que soit ton ordre, je le suivrai et m’efforcerai de l’accomplir!

On pouvait voir une pointe d’hésitation et de stupéfaction sur le visage de Bitoric

En fait, même lui ne s’attendait pas à ce que ces deux frères se résignent aussi facilement.

Il aurait cru qu’ils allaient résister. Il était inattendu que les identités de Clément et de son père suffisent à les battre.

La victoire lui est venue si vite et si facilement, avant même qu’il ne trouve comment les punir

A ce moment-là, Clément a pris la parole

– Puisque vous voulez tous les deux vous excuser, il faut agir. Bien que je ne sois qu’un étranger, je veux quand même vous donner un petit

conseil

s’est empressé de dire

Allez

avec un

Bitoric, ces quatre sont tous tes proches parents et ils ont aussi connu leurs erreurs. D’ailleurs,

cela, Ernest et Marian étaient fous de joie. Ils

Oui oui Bitoric. Nous sommes les frères. Comme nous avons déjà connu

a une fois de plus

pas. C’est possible qu’il vous pardonne,

Clément n’était pas si généreux pour interceder pour eux. Il n’était donc pas surpris en entendant ces propos. Et

d’une manière respectueuse

M. Clément, nous vous écoutons!

a parle d’un ton

Benett. Puisque vous avez décidé de suivre Oncle Bitoric de tout votre cœur, je vous propose de lui transférer vos droits de

demandait, c’étaient leurs droits de vote, pas leurs

mais qu’ils n’auraient plus le droit à la parole. Ils ne pourraient que

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