Chapitre 1459

A ce moment précis, Ernest n’avait pas d’autre choix.

Il était bien conscient que Clément avait l’intention d’aider Bitoric à reprendre son pouvoir.

Il n’était pas important qu’on dirige combien d’employés dans une entreprise. Le plus important, c’était le droit à la parole.

Le droit de vote dans une société était comme le fusil dans le champ de bataille.

Transférer tout son droit de vote, cela signifiait qu’il renonçait à toute résistance.

A vrai dire, il ne voulait être sous le contrôle de personne.

Cependant, il ne pouvait qu’accepter le conseil de Clément.

Et s’il le refusait?

Même s’il avait le courage de le faire, à quoi ça servirait-il ? Son frère s’était déjà guéri. D’ailleurs, il avait le soutien de Clément. Il n’était pas du tout de taille à se mesurer avec Bitoric.

C’était déjà assez bien qu’il ait posé sa condition. Il ne lui avait demandé que le droit de vote au lieu des actions. Mais s’il n’acceptait pas sa proposition, il avait peur de tout perdre !

lui est venu à l’esprit, il a poussé un

M. Clément, j’accepte votre condition. Je remettrai tout mon droit de vote!

jugement. Comme cette affaire était

fait, il s’est empressé

  1. Clément, j’accepte aussi ta demande! |

un signe de tête avec satisfaction. Puis il s’est adressé à Bitoric :

wwwwwww

dans ce cas-là, tu peux demander aux spécialistes légaux de rédiger l’accord de transfert de droit de vote. Il se

a regardé l’heure et poursuivi :

pourra tenir la conférence de presse avant onze heures et demie. Comme ça, avant que la Bourse ne

énormément.

– Parfait !

était d’accord avec lui. Il a sorti

département juridique de venir me

résigné et il s’est alors senti beaucoup plus soulagé. Mais après cela, il s’est rappelé que

futur des Benett compte sur les descendants de mes

compris ce qu’il voulait entendre par là.

et Adam ont aussi regardé Clément avec

dit

je suis de bonne humeur, je pourrai vous laisser vous

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